C’était un après-midi de décembre 2014, pendant la trève des confiseurs. Les derniers Mohicans de Charlie Hebdo vivotaient dans un immeuble sans grâce à l’écart de la Bastille. La rue Nicolas Appert n’était connue de personne, hormis de deux qui voulaient rendre hommage à l’inventeur du procédé de conservation des aliments. Les grandes heures du …
Quand Cabu riait







